Comprendre ses attentes vs la réalité de la formation médicale
Reconnaître les signes de l'épuisement
Aborder le stress lié aux études, au perfectionnisme, à la compétition, à la fatigue de compassion
Aborder d'autres façons de pensées erronées qui contribuent au mal-être
Proposer des moyens pratiques (hygiène digitale, se donner du temps pour soi) et psychologiques (relaxation, techniques comportementales, principes de TCC et de pleine conscience), des solutions liés à la redéfinition de certaines valeurs (philosophie de vie)
Expliquer comment la capacité d'étudier, l'hygiène du sommeil, l'alimentation, l'(in)activation et les préoccupations financières sont inter-reliés et ont un impact sur la gestion du stress
Learning how to navigate medical school is no easy feat. With an overwhelming workload, emotionally-charged patient encounters, and lingering competition from the years of CV building and moulding the perfect application, the hurdles often feel insurmountable. Here, we emphasize the importance of stress-reduction techniques to not only survive medical school, but thrive in the environment. Just like anything in life, incorporating these techniques into your routine takes time and effort. This website aims to provide concrete tools to help you, little by little, improve your medical school experience and reduce your risk for burnout. Certainly, letting yourself go and adopting unhealthy habits, is the easier route and one that still, misleadingly, holds a positive connotation among medical students. Receiving praise for consuming 6 cups of coffee in a day and pulling all-nighters unfortunately remains ingrained in the mindset of many students. The specious belief that accomplishment must accompany suffering needs to change. This website aims to debunk the long-standing misconceptions of what a "normal" lifestyle of a medical student should be like and to show that we are more efficient studiers when we adopt a healthy lifestyle.
In identifying warning signs early enough, you can reverse your downward evolution.
Pression sur la profession: ethique
https://news.gallup.com/poll/1654/honesty-ethics-professions.aspx
culture: intolérance à l'échec, réprimande de l'échec, pas de "chance"; plus de "fait de ton mieux"... vs "soit le meilleur"
Beaucoup de distortions parfois renforcé par la culture des études médicales
impression de ne pas avoir le droit à l'erreur - oui, en fait c'est fort utile de faire des erreurs
anxiété de performance. Elle visait la perfection. Rien de moins. - IL N'Y A PAS DE PERFECTION. C'était une première de classe. Elle n'acceptait pas l'échec.»
Beaucoup de non dit qui favoriser l'isolement et l'impression: je suis le seul qui avec te telle pensée, qui doute sur mes capacités
Vulnérabilité = faiblesse => taboo: "la personne ne voulait pas que ses patrons soient au courant de son état. La personne a repris le travail à fond de train comme si rien ne s'était passé.»
Les résidents en viennent à craindre de parler de leurs problèmes avec leurs supérieurs- craitne de impact sur l'avenir/carrière/rêve.
l'autodiagnostic est un acte très commun chez les étudiant: si je suis déprimé, stressé j'ai une dépression, un trouble mental: cela peut affecter encore plus l'étudiant qui pourrait avoir encore plus de mal à dévoiler ses difficulté
Harcèlement/autorité: accepter des choses qu'ils ne devraient pas
allier vie personnelle et travail/études n'est pas facile: "vivait des difficultés à l'hôpital et dans sa vie personnelle"
On est supervisés et constamment évalués
Relaxer peut être difficile: pour qq goal and adrealine seeking
nouvelle compétition une fois en médecine
chance d'étudier en médecine: stress de vivre à la hauteur des attentes des autres et de ses propres attentes
Mythe de l'invincibilité, du sait tout, du capable de tout, du sacrifice (l'autre avant soi)
Un MD en santé encouragera mieux ses patients à être en santé
Suggestions d’exercices psychologiques, philosophie de vie, gestion du stress (techniques/principes de TCC, mindfulness) d’hygiène de vie…)
On étudie mieux lorsqu'on est en santé. Dans cette époque où beaucoup se plaignent d'être en déséquilibre dans leur vie et ne pas être en santé, "Être en santé" semble d'abord signifier éliminer les facteurs nuisant actuellement la santé de l'individu. L'étape suivante est de promouvoir les moyens pour atteindre une santé optimale et l'entretenir, de prévenir le mal-être et d'intervenir précocement.
Comme pourrait le suggérer les nombreux articles qui font les manchettes, "être en santé" ne devrait pas signifier l'absence d'état de crise: épuisement (burn-out), crise suicidaire, toxicomanie réactive au stress et à une pression qui parait insurmontable.
Bonne nouvelle! Avant de chercher à atteindre l'équilibre, il faut d'abord reconnaître qu'on a perdu l'équilibre. Vous avez donc au moins une étape de franchie. Vous êtes probablement déjà relativement engagé dans la deuxième étape car vous rechercher activement des solutions pour prévenir ce qui serait pire, le burn-out, le désespoir, la dépression, la panique. Vous accumulez déjà la détermination nécessaire pour entreprendre des changements importants dans votre vie.
Plusieurs type de stress...
Externe:
harcèlement
superviseur est "en controle"
Interne:
volonté de plaire, perfectionisme
peur de l'échec, études exigeant
autopression
déception - passion perdue - réalité rattrappe, désenchantement
Physician burnout, a work-related syndrome involving emotional exhaustion, depersonalisation, and a sense of reduced personal accomplishment,1 has reached epidemic levels, with prevalences near or exceeding 50%, as documented in national studies of both physicians in training2, 3 and practising physicians.
From describing the problem to finding long term, implementable, sustanable solution: "Additional research is needed to clarify categories of beneficial interventions to reduce physician burnout, which interventions or combinations of interventions might be most effective, and optimal approaches to development and implementation of these interventions. "
Increasingly, physician burnout has been recognised as a public health crisis in many high-income countries because it not only affects physicians’ personal lives and work satisfaction but also creates severe pressure on the whole healthcare system—particularly threatening patients’ care and safety.
Addressing physician burnout on an individual level will not be enough, and meaningful steps to address the crisis and its fundamental causes must be taken at systemic and institutional levels with concerted efforts from all relevant stakeholders. (The, L. (2019). Physician burnout: a global crisis. The Lancet, 394(10193). doi:10.1016/s0140-6736(19)31573-9)
ok de dire non
L’échec est utile. Il ne faut pas avoir peur de ca. Il faut simplement faire du mieux qu'on peut. Et s'il y a échecs, le voir comme un insuccès et tenter d'apprendre de cela.
Toute difficulté peut être une opportunité; toute opportunité peut être une difficulté. (Tin)
une passion qui anime mais qui peut aussi rendre malade... - rapidement
1. Consacrez du temps chaque jour, même si ce n’est que 10 minutes, à une activité créative, non liée au travail.
2. Imaginez-vous à 80 ans et demandez-vous quel sera l’impact réel de votre situation actuelle sur votre vie à cet âge.
3. N’abandonnez pas vos passe-temps préférés; la résidence n’est pas une condamnation à la prison.
4. Passez du temps avec votre famille et de vieux amis.
5. Réalisez que vous n’avez pas à plaire à tout le monde.
6. La « sainte trinité » du bien-être quotidien des résidents : du sommeil, de l’exercice et des fruits et des légumes chaque jour.
7. N’ayez pas peur de demander de l’aide et n’attendez pas trop avant de le faire.
8. Trouvez chaque jour au moins une raison d’être reconnaissant.
9. Parlez-vous comme vous parleriez à un ami; ne soyez pas trop sévère envers vous-même!
10. Fixez-vous des limites de temps de travail.
http://www.fmrq.qc.ca/sante-bien-%C3%AAtre-et-services/sante-bien-etre/top-10
Ne pas être la personne qu'on devrait être... (identité projeté par les autres et intégrée)
Imposteur syndrome ne se soulage qu'avec l'expérience
Un passage obligé
Imposteur syndrome est utile et rassurant d'avoir car: la personne fera attention, n'aura pas une confiance hypertrophiée dangereuse; indique que la personne est humble
En médecine souvent over confidence. Ceci n'est possible qu'avec des modèles de soins réductionnistes - 1 parameter research... - qui ne donne que l'illusion du savoir surtout dans les domaines très complexes où l'aspect humain et contextuel est indissociable de la médecine (santé mentale)
Culpabilité d'être vulnérable
We can't practice compassion with other people without first treating ourselve kindly" (9:20)
Be simple and humble is the result of having "the courage to be imperfect"
En médecine:
Ne pas se sentir coupable de ne rien faire...!
Que veut dire ne rien faire
hygiène de vie...
que veut dire:
simplicité volontaire
comment s'autorestreindre...
comment lacher prise: Art of not giving a F
nouvelle compétition une fois en medecine:
contre soi meme vs contre les autres
effet euphorisant d'être au sommet detre le meilleur: ce nest plus possible... faut être contre soi meme
idée: établissement d'objectifs personnalisé: à la fin de ce module j'aimerais... savoir...
Ex : reconnaitre les symptomes de perfectionnisme (OCPD), comment rémédier à ca (exercice pour accepter que ce n’est pas la fin du monde, accepter l’imperfection, etc…)
Aspects psychologiques en lien avec les études médicales
culpabilité de ne pas étudier
incertitude sur ses connaissances - ocpd
ocpd à quel point il est important d'avoir le big picture vs les détails
compétition
avec note/pas de notes à l'école
Caarms
collaboration
Préjugés qui rendent maladie
sous entendre que tout le monde sait plus que toi
aborder le désespoir
psychologie du sauveur
mettre des limites - comment? attente des aytres, "je compte sur toi"; t'es ma meilleure
mettre des limites dues le debut
étudier les patterns psychologiques
estime personnel
technique: alwas have a plan B
apprendre à dire non: pas toujours plaire
respect de la facon d'être
We must endorse the same interventions that we use with our own patients.
We should reflect on the interventions we use on our own patients... many should be applied to ourselves... and before we tell them, we must lead by example. If not, we are hypocritical. Also, if we understand the struggles of trying to achieve a healthy lifestyles, we can be more empathetic with our patients and provide them with more realistic and concrete ways to accomplishing their goals.
From an outsider, it seems as if medical students know how to manage their stress levels and succeed despite high levels of stress, but sometimes these mechanisms are maladaptive in the long run (including resorting to drugs, ritalin, alcohol, etc.)
Biopsychosocial approach to health. Not just one dimensional. The interplay of different factors is important.
https://md.umontreal.ca/etudiants/gestion-stress-lanxiete/applications-gerer-stress-lanxiete/